Andropause : baisse de testosérone, âge, signes chez l’homme

Andropause : baisse de testosérone, âge, signes chez l’homme
Un diagnostic précoce offre souvent plus d’options pour restaurer le bien-être et prévenir des complications. La démarche ne signe ni faiblesse ni fatalité mais témoigne au contraire d’une réelle volonté de prendre soin de soi. Ces signes de faible taux de testostérone chez les adolescents – https://gastronet.com.br/ – physiques, bien qu’invisibles pour l’entourage, sont des indicateurs précieux pour prendre conscience d’un trouble hormonal sous-jacent chez l’homme mûr. Reconnus et compris, ils peuvent ouvrir la voie à une prise en charge adaptée et personnalisée. Il est fréquent qu’un homme cumule plusieurs de ces éléments, souvent sans s’en rendre compte. Cette multitude de causes explique pourquoi la ménopause masculine, ou andropause, diffère d’un individu à l’autre.
L’Andropause se définit par un déficit en hormones sexuelles qui stimulent et contrôlent les caractères sexuels chez l’homme. Lorsque le signe de l’andropause se dévoile, les hommes cherchent à mettre des mots sur ce symptôme de l’andropause et prennent conscience que l’âge de l’andropause chez l’homme est peut-être à l’origine de ce trouble. Ils doivent donc jongler avec la vieillesse et ces problèmes d’érection, mais cette andropause symptômes ne doit pas être prise à la légère à cause de l’hormonothérapie. Même lorsque les hommes réussissent à comprendre le phénomène de l’andropause, ils n’ont pas le souhait d’en parler avec les médecins.
Vous vous rendrez compte que vous vous surprendrez à changer sans y penser. Dans tous les cas, en cas de doute, le mieux est d’en parler à votre médecin. L’âge moyen de l’andropause varie plus ou moins fortement d’un homme à l’autre. Il est toutefois admis que la tranche d’âge moyenne se situe entre 45 et 65 ans.
L’andropause est un déficit progressif en testostérone, l’hormone sexuelle masculine principale, surtout chez l’homme 40 ans et plus. La prévalence de ce trouble varie de 10 à 40% et est connu pour augmenter avec l’âge, avec une augmentation plus marquée vers ans (Anaissie et al., 2016). L’autre appellation de l’andropause c’est le déficit androgénique lié à l’âge.
Le diagnostic se révèle souvent complexe, étant donné que la symptomatologie varie énormément d’un patient à un autre. De plus, il ne s’agit pas d’une pathologie, il n’y a donc pas de démarche à suivre dans ce cas de figure. Une fois une thérapie instaurée, il est donc important de faire le suivi de celle-ci. Des prises de sang vous serons demandées ainsi qu’un examen physique pour s’assurer que la thérapie est sécuritaire et tolérée.
Des habitudes du quotidien favorisent parfois l’apparition précoce des symptômes. Le stress chronique, le manque de sommeil, une alimentation déséquilibrée ou le manque d’activité physique pèsent lourd sur la santé hormonale. La consommation d’alcool en excès, le tabac et l’abus de substances sont aussi connus pour affaiblir durablement la production de testostérone. Bien que le vieillissement soit la principale cause de l’andropause, certains facteurs de risque peuvent être maîtrisés. Une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et une gestion du stress peuvent aider à prévenir ou à retarder l’apparition des symptômes. La testostérone est une hormone mâle sécrétée par les glandes surrénales chez les femmes et les hommes, mais en plus grande quantité chez l’homme.
Le médecin vous prescrit ensuite un bilan sanguin permettant de mesurer le taux de testostérone, à effectuer de préférence le matin. L’andropause est révélée si le taux de testostérone totale est inférieur à 3,5 ng/mL et si le taux de testostérone biodisponible (autrement dit la portion biologiquement active) est inférieur à 0,8 ng/mL. Ce dosage doit à nouveau avoir lieu 2 ou 4 semaines plus tard, avant de pouvoir confirmer le diagnostic. Ce dernier s’accompagne d’un examen de la prostate car un traitement de substitution de la testostérone serait contre-indiqué en cas d’hypertrophie bénigne de la prostate ou de cancer de la prostate.
Après 60 ans, les femmes risquent moins la dépression si leur mari fait régulièrement de l’exercice. Les personnes âgées qui ont le plus d’acides gras oméga-3 dans le sang raisonnent et analysent mieux. Les hommes qui consomment le plus de magnésium, potassium et calcium, réduiraient de 21 % leur risque d’accident vasculaire cérébral. Une alimentation riche en végétaux, caroténoïdes et sélénium, et pauvre en glucides raffinés, réduirait le risque de cancer de la prostate. Une étude effectuée sur une grande population européenne révèle toutefois que les symptômes de l’andropause ne se manifestent que chez 2% des 40 à 79 ans. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.